vendredi 24 août 2007

INTERVENTION SUR LE BLOG DE MICHEL ONFRAY.


Une référence à un commentaire que j’ai fait sur le blog de Michel Onfray prenant position dans la campagne électorale française...
L’emmerdant, c’est que le lien m’attribue une opinion que je n’ai pas émise.
Mon nom, qui était une signature par rapport au texte qui précédait, est attribué au commentaire qui suit. Avec une faute d’orthographe en plus, ce qui ne flatte pas mon sens de la coquetterie… Côté positif de l’affaire, j’ai retrouvé un texte que je croyais définitivement perdu et auquel je tenais.
Merci M. ou Mme Google…
Cher Michel,
Merci de tes analyses impitoyables, nécessaires et pleines de lucidité. En fait, il n’y a qu’un seul problème : elles s’épandent dans le domaine de la politique purement philosophique. Il est aisé pour ceux qui en sont partisans de défendre le système en place. Ceux qui veulent le changer peuvent être d’accord sur le refus. Mais la stratégie de lutte pour une société nouvelle sera forcément plurielle. C’est pour cela que ne me gêne aucunement le fait que les différentes tendances de la gauche présentent leurs projets particuliers. Cela dit, crois-tu réellement que, sur le terrain de la réalité, un vote ciblé soit suffisant ? A supposer que la « gauche de la gauche » avance de manière décisive, il est sûr que le régime en place usera de résistances légales et illégales. A ce point de vue aussi, tu dois pouvoir énumérer les références historiques… Il me semble que les candidats que nous soutenons auraient intérêt à déjà baliser le terrain : en prévenant que, si d’aventure, nous nous approchions de manière décisive du but que nous indiquons par notre vote, d’autres formes de militantisme seraient exigés de nous au-delà du simple suffrage… Même à gauche, la société nous a habitués à être de simples consommateurs de promesses : ceux qui votent sont-ils prêts à aller au-delà ? Ton blog énumère des trahisons : elles n’ont pas toutes pour cause la malhonnêteté (philosophique). Plein de compromis scandaleux sont, en fait, basés sur le manque de force et de cohérence dans l’action.
Ecrit par : claude vlerick 28 mars 2007.

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