Entamant la rédaction de ces blogs, j'avais décidé de me libérer de la politisation qui a caractérisé ma vie et de vous l'épargner ...
Il m'a semblé que la meilleure méthode - plutôt que de me taire - était de cantonner certains textes trop marqués sur un site particulier .
On ne fait pas une croix comme ça sur les préoccupations de 35 ans de vie.
De là : « Jusqu'à ce temple en ruines » que vous avez sous les yeux.
Nous sommes en mars 2008 : dans deux mois, quarante ans après mai 68.
Je prévois donc que l'on va nous échauffer les oreilles.
Au mieux, faire un bilan de l'évolution culturelle qui en a découlé. Au pire, attribuer tous les maux de la société contemporaine à ce mouvement, pour justifier le redressement autoritaire dans tous les domaines que l'on nous prépare ...
Et les anciens leaders, parfaitement récupérés et terminant une carrière fructueuse fondée sur leur médiatisation de l'époque, ne seront pas les derniers à hurler avec les loups.
Il m'a semblé que la meilleure méthode - plutôt que de me taire - était de cantonner certains textes trop marqués sur un site particulier .
On ne fait pas une croix comme ça sur les préoccupations de 35 ans de vie.
De là : « Jusqu'à ce temple en ruines » que vous avez sous les yeux.
Nous sommes en mars 2008 : dans deux mois, quarante ans après mai 68.
Je prévois donc que l'on va nous échauffer les oreilles.
Au mieux, faire un bilan de l'évolution culturelle qui en a découlé. Au pire, attribuer tous les maux de la société contemporaine à ce mouvement, pour justifier le redressement autoritaire dans tous les domaines que l'on nous prépare ...
Et les anciens leaders, parfaitement récupérés et terminant une carrière fructueuse fondée sur leur médiatisation de l'époque, ne seront pas les derniers à hurler avec les loups.
Deux brefs messages suivront donc.
In memoriam : Daniel GUERIN.
In memoriam : François BERANGER.
In memoriam : François BERANGER.
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